« Un » pour la subjectivité, « allemand » pour ne pas dire « humain »… Le Requiem de Brahms s’éloigne de la liturgie pour embrasser une ambition plus universelle, celle d’une « œuvre de consolation pour ceux qui souffrent ». Connu pour son goût de la transdisciplinarité, le metteur en scène normand David Bobée reprend le décor spectaculaire de sa production « Tragédie » et sa carlingue d’avion écrasé, plaçant la musique de Brahms dans un temps suspendu, celui de la catastrophe et de la reconstruction. Laurence Equilbey dirigera l’Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie en novembre, avant de retrouver Insula orchestra pour plusieurs représentations à La Seine Musicale en janvier 2026.
1h30 sans entracte